Lundi 1er février - Temps clair, 5° - 688 mots
Drôle d’introduction n’est-ce pas ?
Pourquoi ?
Parce que maintenant chaque article commencera ainsi.
Pourquoi ?
Parce que c’est un peu ma manière de journaliser, de journalister et un peu d’auto-motiver l’habitude d’écriture enclenché hier.
Pourquoi ?
Parce que j’en ai besoin, voilà pourquoi. Il me faut gagner, voire regagner une discipline de travail perdue depuis longtemps.
Pourquoi tout ces pourquoi ?
Parce que c’est ridicule mais très à la mode (et je vous laisse réfléchir à qui l’a faite cette mode…)
Bref, en l’état des choses, j’ai deux illustrations de retard pour le Bulletin, un petit morceau du premier chapitre, un morceau encore plus petit du prologue, et quelques questions encore irrésolues, mais qui ne m’empêchent pas d’avancer.
Ajoutez à cela des toilettes fuyantes à réparer et un job1 à trouver, et vous aurez le tableau complet. Je vous autorise donc à en conclure que tout va bien.
Sur ce, excusez-moi par avance de la brièveté de cette brève. Je finis mon café et retourne à mes fuites hydrauliques. A bientôt, c’est-à-dire demain.
Portez-vous bien !
N’importe lequel, je prend tout, faites offre.↩︎