On a installé la salle en un temps record. C’est à dire qu’à chaque prestation on se donne l’impression d’aller plus vite. Je ne sais pas si c’est tout à fait exact, mais comme il s’agit de la phase “travail” –comprendre que pour nous sur les 4 jours c’est le seul passage qui nous donne l’impression de bosser– plus ça va vite plus ça va top bien merci.
C’est par contre la première fois que l’on montait les plasma (1,66m de diagonale, 30 kgs chacun) sur leur pied de présentation, à savoir 1,75m de haut. Mais pas de soucis, la mécanique semble solide.
Les bungalows du village sont toujours égaux à eux-même, seul le temps semble être de pire en pire : ma première année était chouette (mais j’étais malade), la seconde il y avait un vent à «décorder les noeuds», et cette année en plus du vent on a une belle pluie et des orages terribles. L’année prochaine je crains la neige et la grêle.
J’ai commencé à lire Carpe Jugulum de mon incontournable Pratchett, toujours dans la non moins incontournable édition de l’Atalante. Cette fois les soeurcières se heurtent à des vampires.
Je débute seulement ma lecture, mais il semble que ce soit un Pratchett sérieux, comprendre moins de gags, plus de tétôlogie.
Bref, on va voir, et comme le pire des Pratchett est toujours quelque part au firmament des romans les plus moyens, je ne me fais pas trop de bile. J’ai aussi enmené le Roman des Mille & Une Nuits que m’a prêté Arnaud. Je ne sais pas si je le lirai ici.
Tu me manques, mon coeur. Parfois quelque chose à la radio ou dans une conversation catapulte ma pensée vers toi, et ces flash m’angoissent parce qu’alors je n’ai que ton souvenir et pas toi en chair et en os à aimer.
C’est un gouffre que j’espère voir combler rapidement, même si je sais pertinemment que ça ne se fera jamais aussi vite qu’on le souhaite tous les deux…
Je t’aime.