Passez la balle, que je me la colle dans la tempe

Dé-goû-té !

Totalement dégoûté d’être si con, vraiment. Une erreur de paléo-débutant, un gag qu’on ressert avec délice aux grands enfants de l’informatique et moi, du haut de mes 32 années de grand crétin, du piédestal de mon autosatisfaction d’être de la grande famille du numérique, je fais encore cette bêtise innommable.

En utilisant une analogie pas loin de la vérité, un grand garçon comme moi fait encore dans son pantalon.

Ce que j’ai fait ? Supprimer irrémédiablement des documents, des fichiers textes en reformatant un disque.

Mon petit mac orange donnait des signes de faiblesse; l’os bloquait depuis quelques jours de plus en plus souvent (en général en sortant d’une veille). Qu’à cela ne tienne, ce p’tit mac tourne encore sous os9 et je n’ai que du texte. Soit 2 minutes pour sécuriser les fichiers sur une clé USB, 2 minutes pour booter sur le CD, 30 secondes pour réinitialiser le disque et 10 minutes pour réinstaller un os9 tout propre.

Où est la connerie ? Simple. Y’en a même deux, m’sieur :

1. J’ai laissé des fichiers sur le bureau. Physiquement, pas des aliases. Le con.
2. Lors de la récupération, j’ai totalement ignoré ce qui se trouvait sur le bureau. Le con. Résultat : le répertoire « Travail en cours » qui trônait sur le bureau pour y accéder plus vite contenait 4 ou 5 fichiers textes retravaillés. Dont l’un que je m’apprêtais à envoyer à quatre autres personnes pour les inviter à y travailler avec moi.

Retour à moi, retour à zéro.