Je n’ai actuellement aucune idée de la façon dont le recueil se place. Tout ce que je sais c’est que Nathalie avait le sourire au stand Argemmios parce que le bouquin partait mieux qu’elle ne l’avait craint. Moi, de mon côté, j’en parle et je le montre, et c’est déjà super :)
Lucie Chenu m’a envoyé un petit mail signalant deux critiques du recueil. La première a paru sur le site Yozone. Je ne vous la copicolle pas en entier, juste le passage me concernant (chacun son ego, chacun son blog !). Mais je vous invite à aller lire l’article entier sur le site.
Vincent Corlaix n’y va pas par quatre chemins, plonge dans l’espace pour une histoire qui pourrait se dérouler en plein Moyen-âge. Le décor façon WarHammer 40K donne une touche techno à un récit d’amour brisé par la folie des hommes et le fanatisme religieux.
Je suis très flatté et très content que ma nouvelle ait été si bien perçue (même si j’ai bizarrement souri à l’évocation des Warhammer 40K, qui n’est pas du tout mon univers).
Dans un autre registre (parce qu’on la connaît bien), Sandrine a posté sa critique perso du recueil sur son blog, se fendant même d’un extrait audio du requiem. Merci à elle, c’est top !
A noter également que le site Amigaworld, administré par mon pote C.Hicabou nous a fait une jolie publicité en relayant l’appel à souscription, pour me remercier de le dépanner de quelques webservices. Merci à lui également1.
Voilà, j’attends maintenant de le voir en rayonnage. Mais ce n’est pas gagné; Goulard ne les commandera qu’après la fin des inventaires, la Librairie de Provence est en travaux, c’est un tel bordel que personne ne sait qui fait quoi et quoi est où. Chez Vent du Sud, la SF & fantastique sont anecdotiques donc les petits éditeurs… et enfin au Grimoire d’Oniros, ils m’ont dit commander 3 exemplaires et me tenir au courant d’une éventuelle dédicace…
Bon, sur ce je vous rappelle que le recueil est disponible sur la boutique des éditions Argemmios et je vous rappelle également que vu qu’il s’agit d’une antho de nouvelles chez un petit éditeur et qu’on est quatorze auteurs en tout, c’est vraiment pas pour les droits d’auteur que je lui fait de la pub2.