J’avais prévu de passer –au moins– le samedi à rester sagement à la maison, pour travailler sur divers projets; un peu de Flash, des icônes pour le site Alterwatt et des textes. Et puis un peu de salle de sport.
Las, le Mac en a décidé autrement ; le système est complètement parti en sucette. Aucune préférence n’est conservée. Lorsque j’ouvre une application, il arrive souvent qu’elle se comporte comme si elle venait d’être installée.
Pire, certains systèmes de fichiers sont endommagés ; ainsi j’ai perdu une vingtaine de photos faites sur l’île des Emblez le week-end dernier et plus récemment l’ébauche d’une icône pour Eole. Sauvegardée avec Photoshop, celui-ci n’a jamais voulu le réouvrir, signalant qu’il ne s’agit pas d’un fichier Toshop.
J’avais bien besoin de ça.
Donc, pendant que je rédige ça, je transfert une tonne (disons pour le moins une trentaine de gigas) de données du disque du Mac vers le disque externe avant de tout formatter et réinstaller.
Et si les deux idiots du fond viennent me voir en rigolant que le Mac est censé être plus stable qu’un pc ha-ha-ha, je les invite à aller bosser sur le magnifique Dell bi-processeur avec tout plein de matériel de folie qui me sert de station de travail au boulot et qui est tellement pourri de saloperies choppées sur le net (malgré 2 anti-virus, 1 firewall et le scan intensif d’au moins 3 anti-spywares) qu’il se comporte presque comme un 486 de la belle époque –quand l’explorateur windows ne finit pas tout simplement par s’effondrer, entrainant avec lui la perte d’une ou deux heures de boulot…