Le retour à la civilisation s’est accompagné d’un retour à j’ai-jamais-rien-le-temps-de-faire. Normal.
Ce qui l’est moins c’est si je précise que dans ce jamais-rien-le-temps-de-faire il faut inclure au moins une heure par jour à passer devant l’écran de GTA-Vice City dont je suis définitivement et pathétiquement tombé accroc au stade terminal.
WalkerFerox avait raison; il s’agit bien du meilleur jeu du monde (toute objectivitée mise dans les fondements de mes sous-vêtements).
En tout cas on ne peut lui retirer l’une de ses qualités, insurpassée à ce jour (en attendant la sortie de GTA-San Andreas prévu pour la fin de l’année) c’est la totale liberté. On a le droit de tout faire et tout a été prévu pour s’amuser où que l’on soit.
L’autre aspect plaisant (qu’on pourrait reprocher à l’autre meilleur jeu du monde, Beyond Good & Evil, c’est sa non-linéarité.
En effet, même si au début on est plus ou moins obligé de suivre et d’enchaîner 4-5 missions, très vite en cas de lassitude ou d’échecs répétés on peut zapper d’une mission à une autre ou tout simplement se ballader, explorer, faire n’importe quoi (massacre, course effrénée, vols, etc…)
Bref, j’aime ce jeu. Et j’ai même pas honte.
J’ai reçu mon nouveau téléphone. Un Sagem SG321i.
Sur la photo (ci-dessus), je m’attendais à un téléphone un peu style PDA, avec plus d’écran que de clavier. En fait il n’en est rien. La photo le présente en fait en position fermée. Il faut faire coulisser l’écran vers le haut pour dévoiler (et dévérouiller) le clavier qui se trouve en dessous. Mignon et sympa. Je regrette pas.
Et pis zut, j’ai tout de même diminué mon forfait de moitié, ce qui n’est pas négligeable.
Il faut… que dis-je, IL FAUT que je me procure les deux romans de Dirk Gentry par DNA.
J’ai noté aussi ceci :
Un Requin sous la Lune de Matt Ruff, ed. Gallimard (isbn 2-070423608-4) (conseillé par Eole)
et
L’Histoire de Pi de Yann Martel, ed. Denoel (isbn 220725531-X)
C’est tout ce que j’avais à dire.