Note : J’avais publié ce billet le jour même, lorsque nous étions sur place. Je le garde tel quel, mais les billets datés à partir du 11 juillet jusqu’à la fin de notre séjour, le 22, ont été rédigés après notre retour, comme expliqué ici plus bas.
Mais il ne s’arrête pas pour de vrai.
Il faut juste que je vous explique ce qui se passe, et ce qui ne se passe pas.
Ce petit journal de vacances avait deux objectifs :
Comme vous l’aviez sans doute vu au travers des deux petits articles postés juste avant notre départ, j’avais expérimenté, et j’ai emmené de quoi écrire en mode nomade 2.0 t’as vu ton geek, sous la forme de ma chère tablette Chiafoumi Pad 5, son onéreux stylet, et le clavier Bloutouffe.
Hé ben, ça marche pas. Bon, si, ça marche, mais c’est chiant.
Le clavier BT est poucrave, je m’en suis déjà copieusement plaint, on ne va pas y revenir. Le machin est au fond du sac, et je ne pense pas y retoucher avant que Amos Burton ne soit devenu tout noir1.
L’appli d’écriture manuscrite Nebo reste un outil au top. Mais elle a quelques inconvénients. Malgré un taux de reconnaissance vraiment bon, l’OCR n’est pas à 100% parfait. Ça oblige à revoir attentivement son texte dans IA Writer avant publication.
Les autres inconvénients de Nebo : certains gestes avec le stylet permettent soit d’écrire des symboles “exotiques”, soit d’executer une commande ; effacer, changer le style d’un mot, faire des listes, des puces, etc. C’est très cool. Ça l’est moins quand l’appli croit reconnaitre un de ces gestes en plein milieu d’un mot.
Enfin, il manque une option que j’ai trouvé géniale dans l’appli de dessin Sketchpad Pro qui est capable d’ignorer tout autre interaction avec l’écran sauf celle du stylet. En d’autres termes, à partir du moment où je me sert du stylet avec Sketchpad, si ma paume ou mes gros doigts touchent l’écran, l’appli n’en tient pas compte. C’est génial.
Nebo n’a pas cette option. Du coup puisque, naturellement, l’écriture manuscrite implique d’avoir la main posée sur le support d’écriture (l’écran, donc) ça crée parfois… souvent des interférences. La plus négligeable reste le moment où la paume touche l’écran avant le stylet, celui ci n’écrit pas. La pire étant l’appui involontaire sur les boutons d’applications en bas de l’écran.
Je ne compte plus le nombre de fois où je m’apprête à écrire et où, soudainement, je me retrouve sur le lanceur de la tablette, en mode grumpf !
Nebo n’a de toute manière pas vocation à remplacer un traitement de texte. Elle revendique être une appli de prise de notes. Et, en cela, elle est vraiment chouette.
Enfin, j’en ai déja parlé, la gestion des photos à insérer dans les articles, même si elle marche, est tellement laborieuse que j’ai réduit la voilure au strict minimum.
Tout ça ajouté fait que l’exercice n’a plus rien d’amusant, et tourne à la corvée.
Alors, zut !…
Certainement pas, espèce de personnage anonyme et archétype d’une figure de style dialoguée !
Ce que je fais depuis quelques jours, c’est noter les événements-clé de notre séjour, et au retour je rédigerai les rapports circonstanciés que j’illusterai abondamment des photos que je continue à prendre.
De plus, à la rentrée, je pense me prendre un ultra portable on approchant. Un tout petit portable à 150/200€ que je passerai sous Linux et qui sera ma machine à écrire connectée.
Na !
Et, vraiment, sincèrement désolé d’être obligé de casser l’immédiateté de ce journal.
Du coup, bises, et à dans une semaine et quelques jours…
J’ai fini The Expanse tome 9. Excellentissime, comme le reste de la saga :)↩︎