Encore eût-il fallu que le sujet fut suffisamment intéressant pour continuer d’écrire dessus. Ce qui, à l’évidence, n’était pas le cas. C’est bien dommage, car le doux crissement de la plume sur le papier, et la suave fluidité des lettres et des mots se formant tels des serpents le long d’une ligne invisible, a un effet apaisant pour l’âme.
Mais écrire sans but, comme je le fais à présent, ne sert presque à rien et si la douce caresse décrire un peu avant fait son effet, savoir que ce texte n’a aucune finalité en annule tout le bienfait.
C’est con, hein?